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Comprendre les pouvoirs de l’autoguérison et ses limites
Pour clore la saison 1 sur la reconnaissance de soi, j’ai souhaité aborder un sujet délicat, et souvent mal compris : l’autoguérison. L’épisode idéal pour nous préparer au thème de la prochaine saison, celle de la renaissance. Aujourd’hui, notre aventure introspective nous éclaire sur l’importance de l’autoguérison, ses opportunités, ses limites, et ses dangers.
Table des matières
Les 4 formes d’autoguérison
Comprendre les échanges qui se jouent constamment en nous
Chaque individu est constamment sujet à des attaques extérieures et à des risques de déséquilibre. Ainsi, même lorsqu’on pense être à l’équilibre, nous sommes loin d’être statiques : une dynamique d’échanges et de remise à l’équilibre ont lieu en permanence. Et l’état de santé d’une personne va être le reflet de ces échanges, et de l’efficacité de ses mécanismes d’autoguérison. Pour mieux comprendre ces mécanismes, il est essentiel de ne pas limiter cette notion d’autoguérison au simple fait de se guérir par soi-même. Il est donc important de l’analyser en 4 niveaux.
1. L’autoguérison inconsciente
Dans ce premier cas, il n’y a pas vraiment de déséquilibre. L’individu est en bonne santé. En d’autres termes, son corps, son cerveau et son subconscient effectuent leur travail de manière efficace. Ainsi, dès que des menaces surviennent, ils se chargent de les éloigner avant même que la personne ait pu s’en rendre compte. Résultat : on se sent naturellement bien grâce à nos mécanismes d’autoguérison inconscients.
2. L’autoguérison consciente
Vient ensuite cette seconde catégorie où l’on observe des prémices de déséquilibre. Ils vont se manifester d’une façon ou d’une autre, et notre conscience va les capter. Ici, nous sommes capables de nous mettre en position d’observateur, et d’analyser ce déséquilibre qui nous menace. Souvent, cette capacité d’observation nous permet de choisir, de nous-mêmes, de rétablir l’équilibre.
Cela peut passer par un changement de mode de vie, une pause bien méritée, ou par l’utilisation d’outils tels que les huiles essentielles. Pour résumer, nous posons un acte, de manière spontanée et décidée. En un sens, nous pouvons dire que l’autoguérison consciente est une forme de proactivité thérapeutique.
3. L’autoguérison guidée
Nous entrons dans une forme plus poussée du déséquilibre. Celui-ci ne se contente pas de nous menacer : il s’est véritablement installé et s’exprime par des symptômes physiques. Finalement, l’expression de ses symptômes et de ce mal-être prouve notre incapacité à régler notre problème de façon autonome et spontanée.
Pour contre-attaquer, il nous faut alors l’appui d’un traitement médical ou une courte thérapie, ainsi que d’un accompagnement extérieur sur une courte période. Même si cela semble difficile à accepter, nous devons affronter l’affirmation suivante : nos mécanismes d’autoguérison conscients et inconscients n’ont pas fonctionné. Demander un petit coup de pouce s’avère donc primordial. C’est là qu’on va se tourner vers un thérapeute qui va nous indiquer la meilleure voie pour notre bien-être. Ce dernier nous proposera différentes solutions à mettre en place et à tester pour réactiver notre autoguérison consciente.
4. L’autoguérison assistée
Dans ce quatrième niveau, le déséquilibre persiste et est récurrent. Il va s’exprimer par des maladies chroniques, installées dans tous nos corps énergétiques. À savoir notre corps physique, mental, émotionnel ou encore astral. La maladie s’est véritablement imprégnée dans notre mémoire quantique. En d’autres termes, nous ne sommes plus capables de nous « autoguérir ». Nous aurons alors besoin d’un traitement médical ou psychologique plus intense sur le long terme.
Vous l’aurez compris, l’autoguérison guidée ne sera pas suffisante : il nous faut creuser en profondeur l’origine de cette maladie. Et même s’il est tentant de cheminer seul, un problème se posera très vite : plongé dans un état d’égarement, on aura du mal à prendre les bonnes décisions. Ainsi, ce travail de guérison sera plus simple à faire à deux, avec un thérapeute spécialisé (voire plusieurs), qui va nous indiquer la bonne voie et nous encourager tout au long du parcours.
Autoguérison et thérapie quantique
Toujours privilégier l’autonomie de l’individu
Vous vous demandez sans doute pourquoi intégrer les deux dernières catégories dans cette notion d’autoguérison. Après tout, elles s’éloignent de la définition classique du terme, et de cette idée de se soigner tout seul. La réponse est simple. En thérapie quantique, on vise l’objectif suivant : accompagner et guider l’individu à réactiver ses mécanismes d’autoguérison.
En fait, selon moi, nous devrons toujours privilégier l’expression d’autoguérison quantique à celle de guérison quantique. Après tout, le but est d’aider l’autre à être plus autonome dans sa santé. D’ailleurs, il me semble toujours étrange de me définir comme thérapeute quantique. En effet, je conçois, avant tout, mon apport comme un enseignement.
Ainsi, je préfère qu’on m’aborde avec la question suivante : “Peux-tu m’apprendre à m’autosoigner ?”, que celle me demandant de les soigner directement. Mon objectif principal est donc de donner à la personne des pistes de réflexion pour qu’elle puisse, d’elle-même, investiguer son problème, et tester différentes solutions. Finalement, j’aborde l’autoguérison en la limitant à un certain cadre. Des limites qui, parfois, provoquent l’incompréhension autour de cette notion d’autoguérison.
Avoir l’audace de demander de l’aide
Rien ne vous oblige à cheminer seul
Souvent, on pense que le travail d’autoguérison doit se faire seul. De nombreuses personnes tentent d’ailleurs de trouver des solutions à leur mal en effectuant leurs propres recherches (ex. livres, internet, formations, etc.). Elles essayent de sortir de ce schéma de thérapies et de guérison en se convainquant qu’elles peuvent le faire par elles-mêmes.
Pourtant, il leur faut accepter que la présence des symptômes physiques et chroniques prouvent leur incapacité à le faire. Ici l’humilité est de mise : ces personnes doivent reconnaître leur impuissance à se soigner seuls. Appeler une aide extérieure s’avère fortement conseillé. Et il n’y a rien de mal à cela. Au contraire, cela peut nous ouvrir de nouvelles opportunités. D’ailleurs, souvenez-vous de l’épisode 11 : la guérison ne s’arrête pas uniquement au fait de résoudre un problème. Elle implique également de créer des opportunités.
Ainsi, dans le cas du travail avec un thérapeute s’inscrivant dans une dynamique de philosophie quantique, et de renforcement des mécanismes d’autoguérison, vous allez dépasser le cadre de la simple résolution. Avec un thérapeute quantique, vous vous élevez à un niveau supérieur de bien-être, et vous ouvrez justement à de nouvelles opportunités.
Enfin, n’oublions jamais notre nature d’Être humain : nous nous épanouissons dans les liens sociaux, les échanges d’expériences et le partage. De ce fait, il n’y a aucune raison que les mécanismes de collaboration soient négligés dans notre processus de guérison.
L’attitude du thérapeute quantique
Le patient est maître de son autoguérison
Cette acceptation de l’aide extérieure est essentielle pour le thérapeute quantique. En effet, en traitant un patient, il doit d’abord le placer dans une catégorie.
- Parle-t-on d’une personne en situation d’autoguérison inconsciente ? Dans ce cas-là, le thérapeute travaillera de manière intensive sur cette idée de création de nouvelles opportunités.
- Est-elle dans une situation d’autoguérison consciente ? Ici, la personne va, d’elle-même, osciller entre la résolution du problème et la création d’opportunités.
- Enfin viennent les deux dernières catégories impliquant une assistance du patient. Et il est très important que le thérapeute analyse la situation sous le prisme de 2 cas de figure : le déni et la dépendance.
Je m’explique. Dans le cas d’une forme de déni, la personne ne peut accepter l’idée d’être guidée. Elle ne parvient pas à demander de l’aide. En d’autres termes, le thérapeute ne peut rien faire. Sans demande réelle du patient, il est impossible d’avancer. Ainsi, on a beau lui donner des conseils et l’accompagner, les efforts seront vains, car la personne n’est pas dans un état d’esprit d’ouverture. Pour être honnête, on ferait mieux de dépenser notre énergie ailleurs.
À contrario, dans le deuxième cas de figure, le thérapeute fait face à une personne qui est consciente d’avoir besoin d’aide. Mais son niveau d’alerte est tel qu’elle en oublie son pouvoir d’autoguérison. Il est donc très important de sensibiliser le patient à son pouvoir enfoui. En effet, n’oublions jamais l’objectif initial qui est de permettre l’autonomie. À terme, le but du thérapeute est de rentrer dans un schéma d’autoguérison consciente et inconsciente.
La plus grande erreur d’un thérapeute serait de coincer l’individu dans une dépendance thérapeutique ou une dépendance médicale. L’opposé même de la thérapie quantique.


Exercice pratico-pratique
Méditation pour l'autoguérison bienveillante
Terminons l’épisode et la saison avec un petit exercice pour mieux comprendre cette notion d’autoguérison (à partir de 12:12). Si possible, armez-vous d’une huile essentielle d’eucalyptus citronnée ou d’une essence de citron. Puis, à travers une pause méditative, je vous guiderais dans une aventure introspective sur votre rapport à la guérison : les méthodes utilisées jusqu’ici, votre assiduité, et vos réactions à chacune d’elles. Un beau moment pour explorer vos mécanismes d’autoguérison.
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À propos de l’auteur du podcast
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Je suis Orélie, fondatrice de l’AromaQuantisme. Bioingénieure spécialisée en milieu tropical, et dotée d’un master en thérapie quantique, j’ai créé ce podcast pour rendre accessible à tous les diverses facettes des médecines holistiques et intégrales.
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